top of page

Peut-on assurer un monde qui s'effondre ?

Dernière mise à jour : 1 mars

En 2022, et devant le constat de sinistres climatiques toujours plus intenses, fréquents et coûteux, nous avons souhaité étudier les collisions du secteur de l’assurance avec notre nouvelle époque : l’Anthropocène. Soutenue par la Macif, Maif, et l'Institut pour la recherche de la Caisse des Dépôts, cette étude est le fruit d’un long travail de synthèse de rapports spécialisés, de plus de 30 entretiens avec des collaborateurs de compagnies d’assurance et de plusieurs discussions avec des experts de l’assurance et de l’Anthropocène.






Ce travail rend compte d’un secteur très affecté par les trajectoires écologiques en cours et anticipe une reconfiguration profonde de ce dernier. Pour décrire les discontinuités en cours, cette étude a volontairement évité la notion de “crise” (trop familière, pas à la hauteur de la situation, et supposant l’idée d’un possible retour à l’état initial.) et préféré celle “d’effondrement”, tantôt localisé, tantôt global.


Ce faisant, notre étude décrit les déstabilisations profondes d’un secteur en proie avec la fin d’un monde (de ses techniques, outils, repères, solidarités, pratiques….) et propose humblement quelques options de reconfigurations, autour de nouveaux rôles et de nouveaux modes de fonctionnement.



Vous pouvez télécharger cette étude >>> ici <<<


Bonne lecture !



 


PS : Retrouvez aussi notre série d'articles sur ce sujet, préparée avec le media Usbek et Rica :

_Assurances, quels régimes de solidarité dans un monde qui perd pied ?

_De l'homme de sable à la tortue rouge : ce que la fiction nous apprend des risques littoraux

_Demain, vivrons-nous dans un monde sans assurances ?





bottom of page